• Je ne sais pas si je trouverais les mots justes pour que tout sorte de cette connerie de corps. En fait ce blog n'est sans importance. C'est juste un défouloir qui ne devrait regarder que moi, comme le dit Maman. Sauf que je n'ai pas le tempérament pour tout intérioriser. Même si je suis une battante, une courageuse et une fille déterminée, j'ai mon côté ultra-sensible. Ce soir, je ne sais même pas pourquoi je commence par là. Peut être parce les petites cases de mon être sont en bordel. Tout est dérangé! Plus personne n'est à sa place. Lui est là, l'autre est par ici, puis le troisième ici...


     Je pleure...


    Ca fait bientôt trois mois que je ne l'ai plus vu. C'est long trois mois sans lui. C'est énorme. Et c'est certainement en ce moment que j'ai le plus besoin de ce meilleur ami. Il est complètement ailleurs. Oubliant même la personne qui l'avait certainement le plus aidé ces 2 dernières années. Mais il ne me doit rien...


    Je pleure...


    J'ai vraiment besoin de savoir ce qui retient cette énergumène. Je ne sais pas rester sans réponses. J'ai jamais été aussi amoureuse. C'est dur! Trop dur...


    Je pleure...


     


     


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  • J'ai rien de très croustillant à raconter. Il y a plein de choses qui défilent dans mon cerveau, mais au final, peu de choses qui en sorte. En cours, j'ai l'impression d'être l'attardée de service. Une fille qui ne comprend plus rien. Qui est à la ramasse et qui aurait du s'orienter sur une Seconde SMS à NDA (au pif!). J'ai l'impression d'être dans un autre monde. Sans eux, tout est différent. J'ai plus les mêmes fou rires. Plus le même J'en-Foutisme. Plus ces visages qui m'inspirent tout un tas de bonnes choses. Disons que la routine qui s'installe en ce moment, ne me satisfait pas. Je m'ennuie profondément. Je pense que c'est grave, mais pas de quoi s'allarmer. Après THE déception [amoureuse], je me suis vite reprise. Faut dire, je ne peux pas rester sans sourire pendant plus de deux jours, sinon, ce n'est plus moi. J'y croyais à cette petite histoire, mais finalement je me suis trompée sur toute la ligne. Une petite carotte dans le cul ne fait pas de mal, parfois, pour se remettre les idées en place, ou plutôt les déranger. Je l'aime. Point. A la ligne...



    J'ai pas l'habitude de contrôler autant mes sentiments. Ni mes humeurs. Je trouve que je m'en sors assez bien au niveau de la diplomatie ces derniers jours. Je reste plus ou moins zen. Ne me montre pas trop à cran. C'est sur que j'aimerais bien lui gueler à l'autre larve que je m'ennuie et que ca me fait vraiment chier de glander comme ca au milieu de tout ce monde, mais ce serait trop méchant. J'amierais bien aussi me permettre de dire au con qui se sous estime et qui se prend pour un "tout niqué", que je ferais tout pour le conquérir, parce que je ne me vois pas avec quelqu'un d'autre. Que je ne vois personne d'autre (exagération, je t'aime! "Tu ne serais pas une Marseillaise toi? Euh naaan, j'vins de ch'Nord mi!"). L'amour possède une magnifique facette et une autre, plutôt ideuse et douloureuse. Bien sur pas pour tous les impliqués...Mais merde. Dans ses yeux c'est pas la même lueur. Il me regarde d'une autre manière. Je suis bien trop "sage et gentille" pour comprendre. Plus je le vois, plus je l'aime. Un cas de waralette!



    "J'ai une suprise pour toi.



    Dis moi laquelle!



    Non, je ne dirais rien!



    Allez, s'il te plait Jooonat!"



    Wahooou! Je suis heureuse de l'avoir cette suprise. Méga-Supra-Giga-Extra Heureuse. Elle sent bon cette suprise. Mais, vous n'allez jamais savoir quelle est-elle. C'est un secret entre lui et moi. D'ailleurs, ce Jonat, c'est un amour! Vous ne le saviez pas? Bah c'est fait. Je le ♥ très fort.



     



    C'est: L'attente en Gare, le cul sur le carellage gelé. Un ennui permanent, ou presque. Le poid à porter. L'attente de la prochaine soirée, puisqu'il n'y a que bourré qu'il comprendrait?? Le rêve du jeune homme "tout niqué". La surprise de Jonat. Le meilleur ami qui se fait attendre. Ma Mozza qui me manque.



     



     


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  • C'était Hirson


     


    C'était une semaine. Une vraie. Une semaine qu'on aimerait doubler. Les bons moments sont toujours trop courts.


    Tu découvres certaines personnes. Re-découvres d'autres. Et puis tu intensifies des relations déjà bien solides.


    T'es obligé de tout partager. De ne rien cacher.


    C'est pendant cette semaine que tu réalises à quel point tu aimes ce Jonat. Et à quel point, le Bibe te fais douter.


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  • Y'a cette mauvaise nouvelle que je lui ai réclamé. Elle savait la réponse mais n'osait pas me l'avouer. J'avais une envie folle de la voir. Je m'y étais préparée, même. L'excitation m'envahissait avant que le calendrier ait indiqué : "26 aout 2006". J'ai l'impression que tout le monde lui empêche de passer du temps avec moi. Comme si j'étais un danger potentiel pour son petit être. Elle devait revenir du Sud pour une petite semaine. Mais cette nouvelle est désormais périmée. La Toussaint, c'est pas si long que ça après tout...



    C'est dingue comme on peut s'attacher à une voiture (certes, ca n'interesse personne). Dans l'autre, je pouvais mettre mes pieds sur les sièges, sur le tableau de bord, sans rien craindre, sans qu'on me réprimande. Maintenant, c'est tout autre affaire. J'ai toujours aimé être à l'aise dans ce qui m'entourait. C'est peut être pour cela, que d'ailleurs, que je suis une grosse catastrophe!



     



    Je mache un chewing-gum italien au réglisse. Qu'il soit italien ou allemand ne change pas le fait qu'il soit infecte. J'ai envie de le recracher car il donne la gerbe...


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